Oui, Jérémy M. a perdu le sourire. Il ne l'a peut-être jamais eu, d'ailleurs. Et, comme beaucoup d'autres, il a la haine. La haine des médias. Il va même chercher dans cette haine une force à l'approche des grands matchs. Joueur de foot, je détestais aussi certains journalistes, surtout ceux que j'ai croisés au PSG. Je me suis retrouvé à faire des sourires, à répondre pour faire le métier et soigner mon image.
Parfois, aussi, je les ai ignorés et j'ai senti leur haine dans leurs yeux ou dans leurs papiers. Mais, à la fin, j'ai toujours perdu. Alors j'ai refait des sourires.
Le soir du titre du PSG, Jérémy M. a décidé de ne pas faire le métier. Vincent Duluc n'a visiblement pas apprécié le comportement de "Jérémy M.", cible et titre de sa chronique dans L'Equipe. Et je le comprends. Un journaliste analyse, commente, interprète. Il détourne, triche, manipule. Il coupe, monte, oublie...
Je n'étais pas dans les couloirs de Gerland, mais je n'ai pas oublié. Dimanche soir,…
Parfois, aussi, je les ai ignorés et j'ai senti leur haine dans leurs yeux ou dans leurs papiers. Mais, à la fin, j'ai toujours perdu. Alors j'ai refait des sourires.
Le soir du titre du PSG, Jérémy M. a décidé de ne pas faire le métier. Vincent Duluc n'a visiblement pas apprécié le comportement de "Jérémy M.", cible et titre de sa chronique dans L'Equipe. Et je le comprends. Un journaliste analyse, commente, interprète. Il détourne, triche, manipule. Il coupe, monte, oublie...
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