2010. L'intendant de l'Equipe de France avait envoyé un "document" à signer par les joueurs dissidents de Knysna pour qu'ils renoncent à leurs primes de résultats, pourtant bien négociées et signées par les joueurs, afin de les reverser finalement à... des associations. Nicolas Anelka était même allé jusqu'à proposer lui-même l'association de son choix, n'ayant que peu confiance dans une Fédération qui avait trouvé normale de confondre primes et sautes d'humeur. Une situation ubuesque mais acceptée - difficilement- par les joueurs au regard de la tempête médiatique qui aura mis a mal leur cote. De publicité plus que de popularité, en l'espèce.
2011. Parenthèse encore plus incroyable : le partenariat signé avec Nike, "le plus gros contrat du monde" dixit M. Le Graët, révèle un malus de 10 millions d'euros, à verser si "on est qualifié pour une compétition internationale et qu'on n'est pas autorisé à porter les équipements de l'équipementier avec lequel on est sous contrat",…
2011. Parenthèse encore plus incroyable : le partenariat signé avec Nike, "le plus gros contrat du monde" dixit M. Le Graët, révèle un malus de 10 millions d'euros, à verser si "on est qualifié pour une compétition internationale et qu'on n'est pas autorisé à porter les équipements de l'équipementier avec lequel on est sous contrat",…